mercredi 6 octobre 2010

375 000 dollars!

Eh bien, voilà, nous sommes passés dans l'océan Atlantique, ou presque, puisqu'ici à Cartagena en Colombie, c'est plutôt la mer des Caraïbes.
Mais à quel prix! 425 000 $,(en fait, 375 0000, correction apportée le lendemain par le commandant du navire)le droit de péage que la compagnie a payé pour le franchissement du canal de Panama, pour 3 systèmes d'écluses et 80 km de navigation entre les deux océans. Le coût ramené au nombre de passagers de notre bateau n'est « que de » 210 $ par personne!!!
La promenade est saisissante mais pas si impressionnante que çà: quand on arrive dans le sas, on se demande si notre gros bateau va pouvoir y entrer, il y arrive, mais il ne reste pas beaucoup d'espace sur les côtés, 30 cm à peine. Des chiffres: chaque sas fait 305m de longueur et notre bateau 298m, et 33,5m de largeur et notre bateau 32,9m! Le dénivelé entre les deux océans est pratiquement nul, mais il faut traverser le lac Gatun intérieur à l'altitude de 26m, une hauteur franchie en 3 sassements en montant comme en descendant.
Ce matin, nous avons visité Cartagena, Colombie, et son architecture coloniale espagnole, un peu comme Antigua au Guatemala, mais en plus grand. Mais quand il pleut, sous ces latitudes, cela n'a rien à voir avec notre crachin vendéen-breton, un vrai déluge pendant 20 mn, et la douche est chaude!
Nous sommes remontés dans notre bateau et nous n'en descendrons maintenant qu'à notre port d'arrivée Miami vendredi. Autant dire que la croisière s'achève, tout a une fin, mais nous sommes aussi contents de rentrer à la maison retrouver les copains, la famille et nos activités.
On vous embrasse tous, à bientôt à Pornic où nous ajouterons les photos et vidéos de notre périple.

Le passage d'une des 6 écluses du canal de Panama (vues prises par l'équipe photo-vidéo du bord)




quelques rues de Cartagena, notre escale colombienne


1 commentaire:

Anonyme a dit…

Bonjour et merci pour les infos. Déjà sur le retour? Le temps passe vite en croisière aussi. Bon, ici, aujourd'hui, un soleil superbe et un temps chaud: on a laissé le manteau au porte-manteau. A bientôt, grosses bises. Annick.